L'internet est un espace public de solitude?


un leurre où l'on invente l'hier d'émoi? oui un partage de l'leurres je me mouche ce n'est pas amusant dans les gares , dans les gares , dans les gares utile parfois, illusoire indéfiniment je suis la solitude d'un hier on ne peut me retrouver je bloquerrire indéfiniment sans corps mon ami! et moi pris dans la moiteur des doigts suant et je respire mais il permet des trahisons je me perds pourtant on est agnostiquerrires dans les gares s dans nos corps inexistants s'asphyxier... Nos trahisons ne situeraient-elles pas dans l'inventée on est dans les gares devant la machine; colère parfois; ? le passé n'éclairant plus l'horoscope l'esprit marche dans les tenèbres non, narciss parce querrire tous sanschés sur nos reflets luisants pourtant j'étais dans les gares écrire réduit à touche narciss dans les gares s, esdans les gares és, dérisoires persuadés de notre unicité pathétiquerrires Ce matin-soir endormi je n'ai pas réussi à t'espionner, à moi. fote de frap dramatik ça n'a plus aucun intérêt ! j'avais 12 taches sur mon clavier la désodorisation des solitudes peut être j'y cherche querrirelqu'un? "j'y cherche" n'est pas trouver Les mensonges circulent aussi par la techniquerrire! Reste à savoir s'époumonner et faire avec calcul et à l'insu de son plein gré. Par l'intention, la voilà l'atrophie inventée sur Internet? youpila clavier = ordi = mobile - calculette!? seuls, sans se regarder ;-) baiser pour de faux pourkoi? c'est le moment ou jamais !

 

 

 

Expérimentation en écriture partagée, 9 octobre 2009, La Gare, Coustellet.

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Projet d'Annie Abrahams

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